5 à 10 ans

Le Porteur

55 min.

Maternelle 5 ans
au 2e cycle primaire

Résumé


CRÉDITS PRINCIPAUX

Théâtre de l’Œil
Texte : Richard Lacroix, André Laliberté et Richard Morin
Mise en scène : André Laliberté

IL FAUT RACCROCHER L’ÉTOILE !

Ce soir-là, Pierrot est loin de se douter qu’une petite maladresse de sa part va déclencher toute une histoire ! Alors qu’il accomplit son travail d’allumeur du ciel, une étoile tombe. Heureusement que Pretzel passe par là. Sans lui, il serait impossible de la retrouver et de la remettre à sa place. Raccrocher une étoile n’est pas chose facile ! Jamais Pretzel n’aurait pu imaginer vivre tant d’aventures et rencontrer tant de drôles de créatures. Jamais !

UN SPECTACLE MAGIQUE

Des décors surprenants et envoûtants, des personnages savoureux et drôles, qu’on a envie de toucher… C’est un direct en plein cœur. Le Porteur nous transporte comme par magie dans le ciel, sur terre et sous la mer, et toujours avec des enchaînements subtils et enchanteurs. La musique et les onomatopées de certains personnages ont une force d’évocation telle qu’elles rendent totalement inutile toute parole.

 

En suivant les aventures de Pretzel, nous entrons dans le monde de l’imagination, du rêve et du merveilleux. Un univers où tout est évoqué et rien n’est expliqué. Nous n’avons qu’à nous abandonner avec délice aux images du spectacle. Le Porteur est une merveilleuse histoire sans paroles qui nous laissera ébloui de tant d’étoiles allumées.

 

« On émerge du spectacle Le Porteur comme d’un sommeil profond rempli de rêves étranges, légèrement engourdi, la tête pleine d’images et de questions évanescentes. Le spectacle de marionnettes du Théâtre de l’Œil nous fait voyager à travers l’infiniment petit et l’infiniment grand avec art. »

 

̶ Josiane Desloges, Le Soleil, décembre 2013

 

« Les concepteurs, Richard Lacroix, André Laliberté et Richard Morin illustrent ici un monde défiant toute logique. À une ère ou le didactisme ne semble laisser aucune place à l’imaginaire, Le Porteur s’inscrit en faux avec une ode au fabuleux. Ici. le ciel s’emplit d’eau et l’estomac des obèses abrite des castelets où les araignées font des numéros de claquettes. Les mises en abyme surréalistes sont tout autant savoureuses. »

 

̶ Jade Bérubé, VOIR, octobre 2005