8 à 12 ans

Dans ma maison de papier, j’ai des poèmes sur le feu

45 min.

2e et 3e cycles primaire

Résumé


CRÉDITS PRINCIPAUX

Les Deux Mondes, compagnie de théâtre
En coproduction avec le Festival Les Coups de Théâtre et la Salle Jean-Marc-Dion de Sept-Îles
Texte : Philippe Dorin
Mise en scène : Eric Jean
 
PETITE FILLE DEVIENDRA GRANDE

Aimée et Emma sont pareilles ̶ même coiffure, mêmes vêtements rouges, mêmes chaussures rouges. Sauf que l’une est très jeune et l’autre, très âgée. Une nuit, un homme mystérieux annonce à la plus vieille qu’elle doit partir pour toujours. Sachant son temps compté, Emma remonte le fil de sa vie pour enfin quitter sereinement Aimée et sa maison, qui lui paraissait tellement plus grande lorsqu’elle était petite.

 
DE L’HORLOGERIE THÉÂTRALE

L’intrigue soutenue du spectacle, sans aucun temps mort et avec ses moments cocasses et légers, évite toute dramatisation inutile. Cette œuvre se grave profondément en nous grâce à la magie de ses images et à ses courtes scènes remarquablement jouées, ponctuées de musiques, de voix d’enfants et de bruits de la nature. Les mouvements précis comme des rouages d’horlogerie de toutes les composantes du spectacle font naître beaucoup d’émotions.

 

L’histoire racontée en cache une autre. C’est parce que le texte du spectacle est métaphorique et symbolique, qu’il porte un autre sens caché derrière les mots. On peut imaginer plus que ce qu’on nous dit. Chaque spectateur comprendra donc, selon sa sensibilité, son expérience et son âge, une histoire différente, qui fera écho à sa réalité. Les grands textes ont souvent ce pouvoir, leur sens se démultiplie à l’intérieur de chacun.

 

« La réussite de ce bijou de spectacle tient à la grande cohérence de l’ensemble. L’approche sensible et rigoureuse du metteur en scène a permis la création d’une oeuvre riche et profonde. »

̶ Raymond Bertin, JEU Revue de théâtre, novembre 2014

 

« Un texte remarquable mis en scène avec autant d’intelligence que d’invention par Eric Jean. »

̶ Michel Bélair, Le Devoir, novembre 2014

 

« Dans ma maison de papier, j’ai des poèmes sur le feu est un texte profond et fort qui aborde avec doigté et une intelligente légèreté la vie, l’amour, l’insécurité, le vieillissement, la mort. […] une certaine poésie émane de ce spectacle beau, mais absolument étrange et atypique, assez éloigné des propositions jeunesse habituelles. »

̶ David Lefebvre, MonThéâtre.qc.ca, mars 2016