Résumé
CE QU’EN DIT NOTRE DIRECTRICE ARTISTIQUE
Il arrive parfois que la rencontre entre un texte, un metteur en scène et un interprète touche au sublime. C’est le cas avec la version solo de Petite Sorcière. Le jeu de la comédienne, sa sensibilité et sa délicatesse laissent les spectateurs, petits et grands, suspendus à ses lèvres jusqu’au dénouement de l’histoire.
– Sophie Labelle
CRÉDITS PRINCIPAUX
Projet MÛ
Texte : Pascal Brullemans
Mise en scène : Nini Bélanger
UNE PETITE SORCIÈRE TRÈS MALIGNE
CROUNCH ! Le bruit des feuilles. MIAOU ! Les miaulements du chat. PFFFF ! La respiration fatiguée de grande sorcière. CRICH ! Les pas du Garçon chasseur dans le bois. CRAAKK ! L’Ogre qui s’approche… s’approche ! Et le voilà qui emmène Petite Sorcière avec lui… OUF ! On a peur pour elle. Mais Petite Sorcière est très maligne… Très. Il n’est pas dit que l’Ogre parviendra à la dévorer…
ÊTRE TRANSPORTÉ DANS LA FORÊT
Tout peut survenir dans cette chambre intrigante où les enfants sont invités à ouvrir grand leurs oreilles pour voir apparaître les êtres fabuleux de cette histoire envoûtante. Tout près d’eux, une comédienne donne vie, de façon magistrale, aux personnages plus grands que nature de cette fable à ne pas dormir debout ! Grâce à la magie de sa voix transformée par des jeux sonores, elle nous transporte au plus profond de la forêt pour assister à l’affrontement final entre Petite Sorcière et l’Ogre.
APPRIVOISER LA PEUR POUR GRANDIR
Les contes évoquent des situations tragiques qui permettent aux héros d’affronter leur peur. Petite Sorcière raconte aux enfants que oui, il est possible de combattre les monstres. Mais dans le cas d’un ogre ? Comment fait-on pour échapper à son appétit ? Un brin d’ingéniosité et quelques frissons pour une grande histoire de résilience et de courage.
« Emmanuelle Lussier-Martinez démontre un réel talent de conteuse. Changeant de personnages par quelques modulations de voix (ou de micro), elle sait tenir en haleine son auditoire. Des images fortes et belles surgissent, et on se laisse entraîner dans l’histoire, tout en laissant l’imagination faire le reste. »
̶ Michelle Chanonat, Revue JEU, novembre 2017
« Emmanuelle Lussier-Martinez porte ce texte avec une sensibilité et une force débordante. »
̶ Daphné Bathalon, Monthéâtre.qc.ca, novembre 2017